1920. Alors que les ravages de la Grande Guerre tourmentent encore les mémoires, André, dix-huit ans, enterre sa mère emportée parla maladie. Sans le sou, désormais sans famille, il refuse la vie médiocre à laquelle il se croit promis. Tenté par l'aventure dans les terres lointaines d'Amazonie, il doit pourtant travailler aux côtés du forgeron du village pour gagner sa vie. Comment sortir de la misère ? Comment poursuivre ses rêves ? Comment, surtout, devenir aussi riche que les Jourdan, cette famille fortunée chez qui sa mère a longtemps servi ?

La botaniste Cendrine Gerfaut vient recenser les espèces végétales des alentours de Barjouls, un village du sud de la France. Mais en réalité, elle cherche à retrouver Benjamin Lucas, l'assassin de son fiancé. Originaire du village, il a été relâché après des années de prison.

Au château, l'enfant « maudit » cause incendies, maladies et accidents mortels autour de lui. Rien ni personne ne lui résiste. Ce bâtard finira pourtant par devenir Charles de l'Eperai, l'héritier en titre, dont le caractère sombre n'est pas sans évoquer le personnage de Heathcliff créé par Emily Brontë pour Les Hauts de Hurlevent. Non loin de là, une enfant est abandonnée dans la forêt. Recueillie par une famille noble, elle grandit sous le nom de Judith de Monterlant. Les destinées de ces deux êtres vont se croiser : ils s'attirent irrésistiblement. Amour et destruction, ils s'égarent dans les méandres d'une passion dévorante. Judith se marie pourtant avec un autre. Et Charles, malgré son rang, prend le parti de la Révolution et du peuple.

Greg et Mélissa cherchent une maison pour avoir un deuxième enfant. Un ami propose à Greg une affaire dont le prix est bas car le fils des anciens propriétaires s'est noyé dans la piscine. Greg décide de cacher cette noyade à sa femme, ils achètent la maison et emménagent. Mais Mélissa commence à se sentir nerveuse, fatiguée et mal à l'aise.